
La maison de Pétropolis, dernier lieu de l'exil, et lieu du drame ultime. Il y débarque, accompagnée de sa jeune femme, en septembre 1941. La maison est juchée sur les hauteurs de la ville. Elle présente 3 petites pièces, une véranda qui offre le spectacle des toits de Pétropolis et, au loin, d'une féerie de vallées, de forêts.
SZ croira, en y déposant ses valises, y trouver la paix.
Il s'agira de repos éternel.
La proprétaire en est l'anglaise madame Banfield. Elle garantit seulement un bail de 6 mois. Septembre 1941... en mars 42, les Zweig devront trouver un nouvel abri, partir à nouveau. Mais l'histoire n'ira pas jusque là.
L'histoire prendra fin le 22 février 1942 .
